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Oubliez lâARNm, câest la Spike qui rentre dans le noyau de nos cellules !
Ils nous martĂšlent depuis le dĂ©but que lâARNm ne peut pas rentrer dans nos cellules et altĂ©rer notre ADN.
1/n —ïž
2/n Ok, laissons leur cela mais que vont-ils répondre aux derniÚres données qui montrent que la protéine Spike rentre dans le noyau de nos cellules et bloque les processus de réparation de notre ADN ?
Et que se passe tâil quand lâADN nâest plus rĂ©parĂ© ?
âĄïž CANCER !
3/n Une étude suédoise publiée le 13-10-21 montre que la protéine Spike entre dans les cellules (in vitro) et inhibe (=bloque) de maniÚre significative les processus clés naturels de réparation de notre ADN requis, par exemple, pour le bon fonctionnement de la recombinaison V(D)J
4/n Les auteurs ont dĂ©montrĂ© que la protĂ©ine Spike entre dans le noyau de nos cellules et empĂȘche le recrutement, aux sites nĂ©cessitant rĂ©paration, des protĂ©ines clĂ©s de rĂ©paration BRCA1 et 53BP1.
Ils concluent que cette trouvaille révÚle un mécanisme par lequel la protéine
5/n Spike entrave notre systÚme immunitaire adaptatif mettant à jour de potentiels effets secondaires liés à la protéine Spike vaccinale.
6/n Quels sont les processus de rĂ©paration de lâADN bloquĂ©s par la protĂ©ine Spike ?
I. Les auteurs montrent que la protĂ©ine Spike sâaccumule bien dans le noyau des cellules : ils ont introduit dans les cellules de lâARNm viral et ont suivi ce qui se passe dans la cellule
7/n -> fabrication de la Spike qui ensuite rentre dans le noyau.
II. La protĂ©ine Spike, dans le noyau, bloque les deux processus de rĂ©paration de lâADN appelĂ©s NHEJ et HR !
đĄđđđ : Non Homologous End Junction (la jonction dâextrĂ©mitĂ©s non homologues)
8/n đđ„ : Homologous Recombination (la recombinaison homologues) sont deux mĂ©canismes de rĂ©paration de lâADN qui permet de rĂ©parer les lĂ©sions provoquant des cassures des doubles brins dâADN.
Ils sont aussi vitaux pour le systĂšme immunitaire adaptatif.
9/n Ci-âŹ, 1 article de 2008 qui explique le rĂŽle et le poids de chacun de ces mĂ©canismes de rĂ©paration.
NHEJ rĂ©pare 75% des cassures des doubles brins dâADN et les 25% restants sont rĂ©parĂ©s par HR.
Ces 2 mĂ©canismes rĂ©parent donc 100% des cassures dâADN.
10/n Dans cette Ă©tude đžđȘ, les chercheurs ont crĂ©Ă© des cassures sur des brins dâADN puis ont ajoutĂ© les brins dâARNm dans les cellules.
Ils ont alors observĂ© que la protĂ©ine Spike produite entre alors dans le noyau et inhibe environs 80% de lâactivitĂ© de rĂ©paration de NHEJ et HR.
11/n Si lâADN nâest pas rĂ©parĂ© de maniĂšre efficace ou rĂ©parĂ© de maniĂšre incorrecte et lente, cela mĂšne Ă la mort des cellules et/ou Ă des cancers.
Ceci nâest possible quâavec la protĂ©ine Spike complĂšte, pas avec des fragments ou monomĂšres.
12/n III. Comment est-ce que la protĂ©ine Spike inhibe lâactivitĂ© de NHEJ et HR ?
Les chercheurs ont analysé le recrutement de BRCA1 et 53BP1 qui sont 2 protéines « checkpoint » pour NHEJ et HR.
Une « checkpoint » protéine, est une protéine capable de détecter un défaut dans un
13/n gĂšne et dâenvoyer un signal pour ralentir le processus en cours et permettre au dĂ©faut dâĂȘtre rĂ©parĂ©.
Ces protĂ©ines bloquent les processus afin dâempĂȘcher les erreurs.
Le rĂŽle de BRCA1 et 53BP1 est de repĂ©rer et de marquer les endroits endommagĂ©s de lâADN pour quâensuite
14/n NHEJ et HR puissent aller réparer.
Câest comme si vous aviez sur une route endommagĂ©e, une premiĂšre Ă©quipe qui va inspecter et marquer tous les dĂ©fauts comme les nids de poules Ă rĂ©parer (cette Ă©quipe câest BRCA1 et 53BP1).
15/n Puis une 2Ăšme Ă©quipe viendra elle rĂ©parer tous ces endroits identifiĂ©s (cette Ă©quipe câest NHJE et HR).
Un dessin pour mieux comprendre..
Imaginez que les protĂ©ines BRCA1 et 53BP1 ne puissent plus faire leur travail ou quâelles ne soient plus produites.
16/n Qui va faire leur travail de vĂ©rification de lâADN endommagĂ© et de marquage ?
Personne, il nây aura pas de rĂ©paration de lâADN endommagĂ©.
18/n A noter aussi que les femmes qui hĂ©ritent dâun gĂšne BRCA1 dĂ©fectueux ont 70% plus de risques de dĂ©velopper un cancer du sein.
Quel rĂŽle pourrait avoir la Spike dans une potentielle explosion des cancers du sein chez les femmes ?
19/n 53BP1 est quant à lui appelé « le gardien du génome » !
La perte de fonction de ce gĂšne, par un dĂ©faut dâexpression ou inhibition, comme semble le faire la Spike, provoque le dĂ©veloppement de tumeurs.
20/n La perte de fonction de 53BP1 dans 1 tumeur existante conduit Ă la progression agressive de cette tumeur avec trĂšs mauvais pronostic vital.
Donc lĂ on touche Ă du lourd quand mĂȘme !
21/n IV. La protéine Spike inhibe à 50% le mécanisme de recombinaison V(D)J !
Quâest-ce que la recombinaison V(D)J : câest un mĂ©canisme de recombinaison de lâADN crucial pour le systĂšme immunitaire adaptatif qui permet de crĂ©er une grande diversitĂ© de rĂ©cepteurs des cellules T
22/n et dâimmunoglobulines qui sont nĂ©cessaires Ă la reconnaissance de lâimmense variĂ©tĂ© des antigĂšnes Ă©trangers.
Ceci nous permet de monter nos défenses contre les bactéries, les virus et les parasites.
Sans ce mécanisme de recombinaison V(D)J, le systÚme immunitaire est
23/n compromis et ne peut plus reconnaitre les microbes.
Quand il nâest plus sous contrĂŽle, il conduit Ă des translocations chromosomiques et des cancers des cellules lymphocytes B et T.
24/n En plus de rĂ©parer lâADN, NHEJ est crucial pour le mĂ©canisme de recombinaison V(D)J, qui comme nous lâavons Ă©crit plus haut est dĂ©terminant pour notre systĂšme immunitaire adaptatif.
25/n Si lâactivitĂ© de NHEJ est rĂ©duite de 80%, cela compromet fortement la recombinaison V(D)J qui pourra conduire Ă des cancers des cellules B et T (systĂšme immunitaire).
26/n Les auteurs confirment que la protĂ©ine Spike dĂ©tourne les processus de rĂ©paration de lâADN et la machinerie du systĂšme immunitaire (in Vitro).
La conclusion de lâĂ©tude est que la protĂ©ine Spike vaccinale Ă©tant complĂšte il est trĂšs probable quâelle ait les mĂȘmes effets et
27/n quâil faut donc essayer de dĂ©velopper des vaccins avec des dĂ©bris de protĂ©ine Spike, et non faire fabriquer au corps la protĂ©ine Spike complĂšte.
Ils concĂšdent Ă©galement que leurs rĂ©sultats peuvent expliquer certains effets secondaires des đ sans aller plus loin.
28/n Gageons quâils pensent Ă lâexplosion des cancers ou aux rĂ©activations dâanciens cancers + la destruction du systĂšme immunitaire des vaccinĂ©s.
Câest bien de savoir cela aprĂšs plus de 50 millions de vaccinĂ©s et 3Ăšme dose en coursâŠ
29/n Les fanatiques du đ vont vous dire que le virus va faire la mĂȘme chose.
Peut-ĂȘtre, mais lors dâune infection naturelle lâinoculum (dose de virus reçue) est en gĂ©nĂ©ral faible.
Les personnes non Ă risque qui vont se dĂ©barrasser du virus de maniĂšre efficace nâauront eu que
30/n quelques cellules infectées du systÚme muqueux respiratoire.
Quand on se vaccine, ce sont des trillions de copies dâARNm qui sont injectĂ©es, qui vont sâinsĂ©rer dans autant de cellules, et qui vont fabriquer des trillions de copies de la Spike complĂšte
31/n qui va non seulement endommager la cellule dans laquelle ses copies de Spike sont produites mais en plus comme la Spike est circulante elle va se propager dans tous les organes et compartiments de notre corps pendant des semaines.
32/n Et on recommence Ă chaque nouvelle injection alors que lâinfection naturelle câest 1 fois puis câest terminĂ© pour des annĂ©es voir Ă vie.
Cette étude a été faite in vitro sur des cellules mais pas in vivo sur des animaux.
Toutefois les signaux sont si alarmants
33/n que le principe de prĂ©caution devrait une fois de plus sâimposer pour arrĂȘter ces injections et faire les Ă©tudes appropriĂ©es pour comprendre tous ces mĂ©canismes.
Rappelons que ni Pfizer, ni Moderna nâont fait dâĂ©tudes de carcinogĂ©nicitĂ© ou de gĂ©notoxicitĂ© !
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