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  • Photo du rédacteurSophie Mime Marceau

18 novembre 2021


𝗡𝗢𝗬𝗔𝗨 𝗗𝗨𝗥...


Oubliez l’ARNm, c’est la Spike qui rentre dans le noyau de nos cellules !


Ils nous martèlent depuis le début que l’ARNm ne peut pas rentrer dans nos cellules et altérer notre ADN.


1/n ⤵️


2/n Ok, laissons leur cela mais que vont-ils répondre aux dernières données qui montrent que la protéine Spike rentre dans le noyau de nos cellules et bloque les processus de réparation de notre ADN ?

Et que se passe t’il quand l’ADN n’est plus réparé ?

➡️ CANCER !


3/n Une étude suédoise publiée le 13-10-21 montre que la protéine Spike entre dans les cellules (in vitro) et inhibe (=bloque) de manière significative les processus clés naturels de réparation de notre ADN requis, par exemple, pour le bon fonctionnement de la recombinaison V(D)J


4/n Les auteurs ont démontré que la protéine Spike entre dans le noyau de nos cellules et empêche le recrutement, aux sites nécessitant réparation, des protéines clés de réparation BRCA1 et 53BP1.

Ils concluent que cette trouvaille révèle un mécanisme par lequel la protéine


5/n Spike entrave notre système immunitaire adaptatif mettant à jour de potentiels effets secondaires liés à la protéine Spike vaccinale.


6/n Quels sont les processus de réparation de l’ADN bloqués par la protéine Spike ?


I. Les auteurs montrent que la protéine Spike s’accumule bien dans le noyau des cellules : ils ont introduit dans les cellules de l’ARNm viral et ont suivi ce qui se passe dans la cellule


7/n -> fabrication de la Spike qui ensuite rentre dans le noyau.


II. La protéine Spike, dans le noyau, bloque les deux processus de réparation de l’ADN appelés NHEJ et HR !

𝗡𝗛𝗘𝗝 : Non Homologous End Junction (la jonction d’extrémités non homologues)


8/n 𝗛𝗥 : Homologous Recombination (la recombinaison homologues) sont deux mécanismes de réparation de l’ADN qui permet de réparer les lésions provoquant des cassures des doubles brins d’ADN.

Ils sont aussi vitaux pour le système immunitaire adaptatif.


9/n Ci-⏬, 1 article de 2008 qui explique le rôle et le poids de chacun de ces mécanismes de réparation.

NHEJ répare 75% des cassures des doubles brins d’ADN et les 25% restants sont réparés par HR.

Ces 2 mécanismes réparent donc 100% des cassures d’ADN.



10/n Dans cette étude 🇸🇪, les chercheurs ont créé des cassures sur des brins d’ADN puis ont ajouté les brins d’ARNm dans les cellules.

Ils ont alors observé que la protéine Spike produite entre alors dans le noyau et inhibe environs 80% de l’activité de réparation de NHEJ et HR.



11/n Si l’ADN n’est pas réparé de manière efficace ou réparé de manière incorrecte et lente, cela mène à la mort des cellules et/ou à des cancers.

Ceci n’est possible qu’avec la protéine Spike complète, pas avec des fragments ou monomères.


12/n III. Comment est-ce que la protéine Spike inhibe l’activité de NHEJ et HR ?


Les chercheurs ont analysé le recrutement de BRCA1 et 53BP1 qui sont 2 protéines « checkpoint » pour NHEJ et HR.

Une « checkpoint » protéine, est une protéine capable de détecter un défaut dans un


13/n gène et d’envoyer un signal pour ralentir le processus en cours et permettre au défaut d’être réparé.

Ces protéines bloquent les processus afin d’empêcher les erreurs.

Le rôle de BRCA1 et 53BP1 est de repérer et de marquer les endroits endommagés de l’ADN pour qu’ensuite


14/n NHEJ et HR puissent aller réparer.


C’est comme si vous aviez sur une route endommagée, une première équipe qui va inspecter et marquer tous les défauts comme les nids de poules à réparer (cette équipe c’est BRCA1 et 53BP1).


15/n Puis une 2ème équipe viendra elle réparer tous ces endroits identifiés (cette équipe c’est NHJE et HR).


Un dessin pour mieux comprendre..

Imaginez que les protéines BRCA1 et 53BP1 ne puissent plus faire leur travail ou qu’elles ne soient plus produites.


16/n Qui va faire leur travail de vérification de l’ADN endommagé et de marquage ?

Personne, il n’y aura pas de réparation de l’ADN endommagé.


18/n A noter aussi que les femmes qui héritent d’un gène BRCA1 défectueux ont 70% plus de risques de développer un cancer du sein.


Quel rôle pourrait avoir la Spike dans une potentielle explosion des cancers du sein chez les femmes ?


19/n 53BP1 est quant à lui appelé « le gardien du génome » !


La perte de fonction de ce gène, par un défaut d’expression ou inhibition, comme semble le faire la Spike, provoque le développement de tumeurs.


20/n La perte de fonction de 53BP1 dans 1 tumeur existante conduit à la progression agressive de cette tumeur avec très mauvais pronostic vital.


Donc là on touche à du lourd quand même !



21/n IV. La protéine Spike inhibe à 50% le mécanisme de recombinaison V(D)J !


Qu’est-ce que la recombinaison V(D)J : c’est un mécanisme de recombinaison de l’ADN crucial pour le système immunitaire adaptatif qui permet de créer une grande diversité de récepteurs des cellules T


22/n et d’immunoglobulines qui sont nécessaires à la reconnaissance de l’immense variété des antigènes étrangers.

Ceci nous permet de monter nos défenses contre les bactéries, les virus et les parasites.

Sans ce mécanisme de recombinaison V(D)J, le système immunitaire est


23/n compromis et ne peut plus reconnaitre les microbes.


Quand il n’est plus sous contrôle, il conduit à des translocations chromosomiques et des cancers des cellules lymphocytes B et T.



24/n En plus de réparer l’ADN, NHEJ est crucial pour le mécanisme de recombinaison V(D)J, qui comme nous l’avons écrit plus haut est déterminant pour notre système immunitaire adaptatif.


25/n Si l’activité de NHEJ est réduite de 80%, cela compromet fortement la recombinaison V(D)J qui pourra conduire à des cancers des cellules B et T (système immunitaire).


26/n Les auteurs confirment que la protéine Spike détourne les processus de réparation de l’ADN et la machinerie du système immunitaire (in Vitro).

La conclusion de l’étude est que la protéine Spike vaccinale étant complète il est très probable qu’elle ait les mêmes effets et


27/n qu’il faut donc essayer de développer des vaccins avec des débris de protéine Spike, et non faire fabriquer au corps la protéine Spike complète.

Ils concèdent également que leurs résultats peuvent expliquer certains effets secondaires des 💉 sans aller plus loin.


28/n Gageons qu’ils pensent à l’explosion des cancers ou aux réactivations d’anciens cancers + la destruction du système immunitaire des vaccinés.

C’est bien de savoir cela après plus de 50 millions de vaccinés et 3ème dose en cours…



29/n Les fanatiques du 💉 vont vous dire que le virus va faire la même chose.

Peut-être, mais lors d’une infection naturelle l’inoculum (dose de virus reçue) est en général faible.


Les personnes non à risque qui vont se débarrasser du virus de manière efficace n’auront eu que


30/n quelques cellules infectées du système muqueux respiratoire.

Quand on se vaccine, ce sont des trillions de copies d’ARNm qui sont injectées, qui vont s’insérer dans autant de cellules, et qui vont fabriquer des trillions de copies de la Spike complète


31/n qui va non seulement endommager la cellule dans laquelle ses copies de Spike sont produites mais en plus comme la Spike est circulante elle va se propager dans tous les organes et compartiments de notre corps pendant des semaines.


32/n Et on recommence à chaque nouvelle injection alors que l’infection naturelle c’est 1 fois puis c’est terminé pour des années voir à vie.

Cette étude a été faite in vitro sur des cellules mais pas in vivo sur des animaux.

Toutefois les signaux sont si alarmants


33/n que le principe de précaution devrait une fois de plus s’imposer pour arrêter ces injections et faire les études appropriées pour comprendre tous ces mécanismes.

Rappelons que ni Pfizer, ni Moderna n’ont fait d’études de carcinogénicité ou de génotoxicité !


 
2021-11-18 Noyau dur - Oubliez l’ARNm c’est la Spike qui rentre dans le noyau de nos cellu
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