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  • Photo du rédacteurmarceau2020

21 mars 2021


Fonctionnement des "vaccins" Covid-19



Stupéfait d’entendre encore des Khmers blancs et présentateurs TV répéter à tout va que le 💉 d’AstraZeneca (AZ) est un vaccin traditionnel (ou classique) !


Non, ce 💉 vaccin utilise une technologie à vecteur adénovirus qui n’a JAMAIS été utilisée sur l’homme, ou plutôt

1/n


2/n ça va faire 30 ans que certains essayent sans succès et pourtant depuis 2020 -Hop- tout fonctionne !

Le miracle du Covid-19 !


Le premier 💉 approuvé pour l’homme utilisant cette technologie date de juillet 2020 contre Ebola avec le fiasco qu’on connaît !


3/n Pire, on nous dit aussi que les 💉 à vecteur adénovirus n’ont rien à voir avec les 💉mARN, ce qui est aussi entièrement FAUX !


Voici les explications en images pour le vaccin AZ dit à adénovirus et celui de Pfizer dit à mARN :


4/n Ce schéma représente le SARS-Cov-2 avec le gène de la protéine Spike à l’intérieur.


Les "pseudos" 💉 sont basés sur ce matériel génétique qui va donner instruction à nos cellules de fabriquer cette protéine Spike qui va ensuite former les spicules à la surface du virus.


5/n Le coronavirus est un virus à mARN = son information génétique est stockée sous forme d’mARN.


Les vaccins Moderna, Pfizer et d’autres à venir délivrent directement cet mARN dans nos cellules grâce à des nanoparticules lipidiques qui protègent l’mARN de la dégradation


6/n Les 💉 à vecteur adénovirus comme AZ, J&J ou encore Spoutnik délivrent le matériel génétique sous forme d’ADN, qui est dans un second temps transcrit en mARN.

Comment est-ce possible de délivrer de l’ADN alors que nous avons à faire à un virus à mARN ?


7/n Eh bien il s’agit d’un OGM :


👉 les chercheurs ont transformé l’ARN du virus en ADN, cet ADN est introduit dans un adénovirus qui fait office de 🐎 de Troie.

Les adénovirus sont des virus responsables des rhumes ou de symptômes grippaux.


8/n Pour AZ c’est un adénovirus responsable du rhume chez le chimpanzé qui a été désactivé, pour qu’il puisse entrer dans les cellules humaines mais sans pouvoir s’y répliquer. J&J et Spoutnik utilisent un adénovirus humain.


Voici les différentes étapes :


9/n Étape 1 : Pénétration dans les cellules humaines après vaccination :


L’adénovirus pénètre dans la cellule et dépose l’ADN dans son noyau.


10/n Dans le noyau l’ADN est transcrit en mRNA viral qui va ressortir du noyau pour enclencher la synthèse de la protéine spike dans le cytoplasme. Dans le cas des vaccins dits à ARN, la nanoparticule lipidique emmène l’mARN directement dans le cytoplasme de la cellule.


11/n Quand l’mARN est dans le cytoplasme, nous nous retrouvons EXACTEMENT dans la même situation que ce soit pour les 💉 à adénovirus ou à mARN.

Donc quand on vous raconte que les 💉 sont différents : oui, les technologies pour emmener le mARN dans le cytoplasme sont différentes


12/n MAIS in fine ce sont TOUS des vaccins à mARN.


Donc les effets secondaires seront les mêmes pour tous les vaccins et peut-être pire pour les vaccins à adénovirus qui eux injectent de l’ADN dans le noyau des cellules et cet ADN peut très bien s’insérer dans nos gènes !


13/n Étape 2 : Synthèse de la protéine Spike dans le cytoplasme de la cellule – même processus pour les deux types de 💉.


Le ribosome permet de synthétiser les protéines Spike à partir de l’mARN.

3 protéines Spike permettent de former 1 Spicule.


14/n Aussi bien les spicules que des fragments de protéine Spike sortent de la cellule pour être exposées à notre système immunitaire qui va induire une production d’anticorps dirigés contre cette protéine Spike .

L’adénovirus va aussi activer l’alarme de notre système immunitaire


15/n ce qui va provoquer une forte réaction immune à la présence de la protéine Spike .

Un booster en quelque sorte comme les adjuvants dans les 💉 vaccins classiques.

Le risque est que notre système immunitaire produise aussi une immunité contre le vecteur adénovirus lors de la


16/n première injection, et ces anticorps dirigés contre l’adénovirus pourraient le détruire lors de nouvelles injections de vaccin sans laisser le temps à l’adénovirus de délivrer l’ADN dans le noyau de la cellule, rendant ce type de vaccin complètement inutile… à suivre !


17/n Pour les 💉 vaccins à adénovirus humain (JnJ, Spoutnik), comme beaucoup d’entre nous ont déjà une immunité contre ces virus, ils risquent fortement de ne pas fonctionner pour tout le monde car nos anticorps détruiront le 💉 avant même qu’il fasse le job.


18/n Dans les 💉 vaccins à mARN, c’est la capsule lipidique et le PEG qui y est contenu qui vont jouer ce rôle de booster. Le PEG (polyéthylène glycol) étant fortement allergène…


Étape 3 : Repérer l’intrus et le détruire !


19/n Quand la cellule « vaccinée » est détruite, ses débris sont reconnus par des cellules de notre système immunitaire appelées « cellules présentatrices d’antigènes ».

L’antigène étant la partie du corps étranger contre lequel notre corps va fabriquer des anticorps.


20/n Dans le cas de la quasi-totalité de ces 💉 l’antigène est la protéine Spike.

Ces cellules présentatrices d’antigènes vont digérer les débris de la cellule « vaccinée » morte, puis présenter des fragments de protéine Spike à leur surface.

Ces fragments de protéine Spike vont


21/n alors être reconnus par d’autres cellules de notre système immunitaire appelées Lymphocytes T auxiliaires, qui elles vont sonner l’alarme pour induire la formation d’anticorps.


Étape 4 : La fabrication d’anticorps !


22/n Ces Lymphocytes T vont activer d’autres cellules de notre système immunitaire appelées Lymphocytes B. Une fois activés ces lymphocytes B vont se multiplier et commencer à déverser des anticorps qui ciblent spécifiquement la protéine Spike.


23/n Étape 5 : Stopper le virus lors d’une infection après vaccination et tuer les cellules déjà infectées.

Lors d’une infection au Sars-cov-2, les anticorps produits lors de la vaccination vont s’attacher sur les spicules, les marquer pour destruction et ainsi bloquer



24/n l’infection en empêchant le virus de s’attacher à nos cellules et d’y pénétrer.


De leur côté, les cellules présentatrices d’antigènes sont aussi capables de détruire indirectement les cellules déjà infectées par le virus en activant les Lymphocytes T cytotoxiques.


25/n Ces derniers vont chercher les cellules infectées présentant la protéine Spike à leurs surfaces et les détruire.

Notons que notre système immunitaire inné, exposé au virus, est notre première ligne de défense et il fait la même chose :


26/n Nous avons tous des anticorps non spécifiques au Sars-cov-2 mais qui sont capables de reconnaître des motifs communs à d’autres virus que nous avons déjà rencontrés dans nos vies.

Ces anticorps se lient alors au Sars-cov-2 pour former un complexe qui est digéré par les


27/n cellules présentatrices d’antigènes.

Ensuite la cascade est la même jusqu’à la formation d’anticorps spécifiques ciblant la protéine Spike sur Sars-cov-2.

Il y a aussi des cellules appelées les cellules NK qui repèrent les cellules infectées par le virus et les détruisent.


28/n Notre système immunitaire garde ensuite une mémoire de cette infection grâce aux lymphocytes mémoires B et T qui lors d’une nouvelle infection sonneront la charge encore plus rapidement.

Donc notre système immunitaire sait très bien faire le job quels que soit les variants


29/n … surtout chez les plus jeunes !


Il faut juste bien en prendre soin et le laisser travailler au lieu d’essayer de l’abîmer avec ces poisons non éprouvés ou par une politique de la peur tellement toxique pour nos organismes !


 
2021-03-21 Stupéfait d’entendre encore des Khmers blancs et présentateurs TV répéter à tou
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