top of page
  • Photo du rédacteurmarceau2020

26 novembre 2023

𝗜𝗟 𝗘𝗧𝗔𝗜𝗧 𝗨𝗡𝗘 𝗙𝗢𝗜𝗦 𝗟𝗔 𝗙𝗥𝗔𝗨𝗗𝗘. 𝗦𝘂𝗶𝘁𝗲

📰 Les vaccins COVID-19 protègent du Covid Long, vraiment ?


Cela faisait longtemps que nous n’avions pas vu d’études essayant de démontrer les pouvoirs magiques des injections COVID-19 jusqu’à ce jeudi 23-11-2023 et la publication dans le BMJ de cette étude suédoise sur 589 722 individus infectés essayant de démontrer qu’être injecté 2-3 doses permettrait de protéger contre les effets persistants post infection par le SARS-Cov-2.


Les auteurs de l’article appellent cela Post Covid Condition (PCC), ce qui englobe : fatigue, dyspnée, problèmes cognitifs, maux de tête, douleurs musculaires et problèmes cardiaques telles que les palpitations. En gros ce qu’ils nomment plus communément le fameux Covid Long.

Sans même lire cette étude de cohorte rétrospective nous savons tous aujourd’hui que c’est faux.

Nous savons que ce sont les vaccinés qui sont les plus à risque de se réinfecter, de développer des symptômes incapacitants et d’en garder des séquelles sur le long cours.

Il suffit de regarder autour de nous ce qui se passe et voir qui est malade.


Alors comment les génies à l'origine de l'article ont-ils fait pour pipeauter le résultat de cette pseudo-étude que les nofakemed et autres journaleux en mal de science (comme le clown du Parisien) vont, n'en doutons pas, s’empresser de mettre en avant très bientôt ?

Les mêmes qui s’acharnent sur Raoult et son étude de cohorte, ce sera savoureux.

Résumé de cette "étude" :


Sur 299 692 individus vaccinés infectés par le Sars-Cov-2, 0.4% ont rapporté un ou plus des symptômes persistants listés plus haut (PCC).


Sur 290 030 non vaccinés infectés par le Sars-Cov-2, 1.4% ont rapporté un ou plus des symptômes persistants listés plus haut (PCC).


Donc nous parlons d’une prévalence de soi-disant "covids longs" très faible et d’une différence entre les deux groupes d’à peine 1%.

Conclusion de l’ « étude » :


Les auteurs concluent que les résultats « suggèrent » que la vaccination avant infection réduit le risque de diagnostic PCC (Covid long), et qu’il est donc important de se vacciner contre le COVID-19 pour réduire le risque de Covid-long.


Nous n’allons pas nous étendre sur le contenu de l’étude ou sur les risques gravissimes que les vaccinés encourent à cause des 💉 géniques mais simplement vous montrer comment il est possible de frauder, car il s’agit bien d’une fraude, pour arriver au résultat voulu :


Comme toujours il faut chercher les détails.

Ici dans le tableau 1, qui n’est pas visible online.

Lorsque c’est caché ou non mis en avant, c’est à cet endroit qu’il faut chercher.


Soit il faut cliquer sur le lien dans le texte « Table 1 » :

Soit il faut ouvrir le PDF :


Que cachent-ils et quel est le biais utilisé par ces voyous ?


Quand on regarde ce long tableau, son titre, on se dit qu’ils ont bien essayé de balancer les deux bras avec autant de vaccinés que de non vaccinés, en stratifiant par sexe, âge, région de naissance (origine), niveau social (employé ou pas), comorbidités, nombre de doses de vaccins, sévérité de la maladie etc.


Mais patatras, c’est à la fin du tableau que vous trouvez le pot aux roses ⤵️


Environ 80% des non vaccinés ont été sélectionnés parmi ceux infectés par les deux premiers variants quand il n’y avait pas de vaccins, que les gens devaient rester chez eux avec du paracétamol jusqu’à devenir bleus, crever ou finir intubés avec du midazolam ou du rivotril.

C’était le pic de mortalité et d’hospitalisations partout en Europe et en Suède.

Pour les vaccinés en revanche les auteurs ont sélectionné à quasi 80% ceux infectés par le variant Omicron, le variant du nouveau rhume qui fut bénin même pour les vaccinés 2-3 doses.


Incroyable biais qu’ils ne mentionnent même pas dans les limitations de l’étude et qu’ils planquent bien au bas d’un long tableau non visible si vous n’allez pas le chercher.

Donc voilà comment ces gens en connaissance de cause ont une fois de plus FRAUDE et veulent nous faire croire, enfin pas à nous, que les effets secondaires des 💉 (appelés Covid long) seraient dûs aux infections SARS-Cov-2 et qu’il faudrait donc s’injecter toujours plus pour éviter cela.

Et nous parlons d’une prévalence de l’ordre de 1% selon leurs propres chiffres !


Souvenons-nous ici de cette étude de la Cleveland Clinic montrant qu’il y a une forte corrélation directe entre nombre de doses et sévérité des symptômes post infection. ⤵️


Même si tous les factcheckers en panique se sont évertués à vouloir expliquer que c’était une étude ratée et que les résultats ne voulaient pas dire ce qu’ils montrent et que tout le monde peut comprendre sans PhD !


Nous ne pouvons finir sans regarder les noms de ceux qui financent les auteurs en bas de l’article...

Business as usual.


Cette fraude scientifique doit cesser, car à ce stade c’est encore plus criminel !

 
2023-11-26 Il était une fois la faute - Suite
.pdf
Télécharger PDF • 5.34MB




bottom of page