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  • Photo du rĂ©dacteurMare Seau

8 janvier 2023


Épisode 5 : Gardasil – essais cliniques truquĂ©s 💣



Dans les essais cliniques « vaccins », les sujets de test prenant le vaccin sont comparĂ©s Ă  des sujets d'un autre groupe prenant un placebo. Selon les rĂ©glementations fĂ©dĂ©rales amĂ©ricaines et les experts de l'Organisation Mondiale de la SantĂ© (OMS), en particulier pour un nouveau vaccin, le contrĂŽle par rapport auquel la sĂ©curitĂ© du vaccin est mesurĂ©e devrait ĂȘtre un placebo inactif (inerte). Il ne doit produire aucune rĂ©action. Souvent, le placebo est une injection d'une solution saline (eau salĂ©e).


Dans les essais cliniques du vaccin Gardasil, Merck a "dopé" le placebo avec son adjuvant le sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (AAHS), neurotoxique.


Le rĂ©sultat a Ă©tĂ© qu'un nombre approximativement Ă©gal de sujets dans le groupe vaccinĂ© et dans le groupe placebo ont subi des effets indĂ©sirables. Cela a permis aux effets indĂ©sirables dans les deux groupes d'apparaĂźtre similaires et de donner l'impression que le vaccin Gardasil PVH Ă©tait « aussi sĂ»r qu'un placebo », ou aussi sĂ»r que l'eau salĂ©e dans la tĂȘte du quidam moyen.


En fait, une quantité importante de sujets dans les deux groupes de traitement souffraient de nombreuses conditions médicales graves, y compris des symptÎmes de maladies auto-immunes
 pour ce qui a été publié !


La communauté médicale a pourtant soulevé des objections sur les graves défauts dans la façon dont Merck a conçu, analysé et rapporté ses études sur le Gardasil.


En particulier en 2013, de nombreux professionnels de la santé ont publié un article dans le British Medical Journal (Call to action : RIAT restore of previous unpublished method in Gardasil vaccin trial) soulignant les failles et le caractÚre incomplet des publications traitant des essais cliniques Gardasil de Merck.


Les auteurs ont lancé un "appel à l'action" pour que des chercheurs indépendants réanalysent ou "rétablissent la notification de plusieurs essais dans le cadre du programme de développement clinique de Merck pour le vaccin quadrivalent contre le papillomavirus humain (PVH) (Gardasil)".


Comme vous pouvez le voir, les vaccins dits COVID-19 ne sont pas les premiers développés de maniÚre frauduleuse, le BMJ dénonçait déjà ces pratiques mafieuses et les FDA/EMA financées par les labos approuvaient déjà des injections toxiques.




Comme Pfizer pour ses injections ARNm, Merck n'a pas signalĂ© un grand nombre d'effets indĂ©sirables graves comme effets secondaires du Gardasil prĂ©tendant qu’ils n’étaient pas liĂ©s Ă  l’injection.

Au contraire, Merck a classé ces maladies graves comme de « nouvelles conditions médicales » sans rapport avec le vaccin Gardasil.

PrĂšs de 50 % des participants Ă  l'Ă©tude ont signalĂ© une « nouvelle condition mĂ©dicale ». Ceux-ci comprenaient des taux Ă©levĂ©s de maladies neurologiques, musculosquelettiques et auto-immunes comme nous le verrons plus loin dans les documents de l’EMA.


Le 27 juillet 2018, le BMJ Evidence-Based Medicine a publiĂ© une critique d'un examen antĂ©rieur des essais cliniques du vaccin contre le PVH. Les auteurs ont fait plusieurs observations indiquant un biais dans la maniĂšre dont les essais ont Ă©tĂ© menĂ©s. Ils ont rapportĂ© qu’un tiers (31%) des Ă©tudes cliniques Gardasil (quadrivalent) et Gardasil 9 n'Ă©taient pas publiĂ©es ! Cela soulĂšve la question du biais de publication, la pratique courante consistant Ă  ne publier que les rĂ©sultats positifs et Ă  ne pas mentionner les rĂ©sultats nĂ©gatifs.


Aucun des essais cliniques sur le vaccin contre le PVH inclus dans la revue n'a utilisé un véritable placebo inactif. Les soi-disant placebos contenaient TOUS des adjuvants avec de l'aluminium et d'autres ingrédients, biaisant ou annulant tout effort pour déterminer le risque accru réel d'événements indésirables causés par le vaccin, par rapport à un véritable placebo inactif.


Les auteurs mentionnent également une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de 2017 qui a révélé de graves dommages liés au syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et au syndrome douloureux régional complexe (SDRC) aprÚs la vaccination contre le PVH. Ils notent qu'en mai 2018, une base de données de l'OMS contenait 526 cas de POTS et 168 cas de SDRC liés à la vaccination contre le PVH.




L’OMS dont l’intĂ©rĂȘt premier n’est certainement pas notre santĂ© pousse nĂ©anmoins toujours pour la vaccination des ados du monde surtout quand des cas d’infertilitĂ© directement liĂ©s au Gardasil commencent Ă  ĂȘtre rendus publics.


Signal de sécurité détecté pour une insuffisance ovarienne prématurée à la suite de la vaccination avec le Gardasil :




Selon une étude publiée en juillet 2020, l'exploration de données du VAERS a également révélé un nombre disproportionné de signalements d'insuffisance ovarienne prématurée (POI) et de problÚmes analogues, notamment l'aménorrhée (absence de menstruations), des rÚgles irréguliÚres, une augmentation de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) et ménopause prématurée.



POI se produit lorsque les ovaires d'une femme cessent de fonctionner normalement avant l'ùge de 40 ans, ce qui réduit ses chances de tomber enceinte. Cela augmente également son risque d'anxiété et de dépression, de certaines maladies oculaires, de maladies cardiaques, d'hypothyroïdie (faible fonction thyroïdienne) et d'ostéoporose (faible densité osseuse).



Tout comme pour la Spike des injections COVID-19, les protéines synthétiques contenues dans le Gardasil partagent des similitudes avec des protéines qui sont importantes pour maintenir le bon fonctionnement des ovaires.

AprÚs vaccination, le corps créé donc une réponse immunitaire au Gardasil qui provoque une attaque contre des protéines spécifiques responsables du bon fonctionnement des ovaires. La liaison de ces protéines spécifiques les a détruites et/ou les a rendues dysfonctionnelles, entraßnant le développement d'une insuffisance ovarienne primaire.


Études concernant le lien entre Gardasil et les maladies auto-immunes :


Il n'y a pas seulement le témoignage de ceux qui ont souffert de symptÎmes débilitants aprÚs avoir reçu le vaccin Gardasil PVH, mais aussi plusieurs études qui ont été menées pour déterminer le lien entre le Gardasil et les effets secondaires graves.

L'Université de la Colombie-Britannique a publié une étude qui a déterminé qu'il y avait effectivement un lien entre le Gardasil et une myriade de rapports de maladies auto-immunes présumées chez les receveurs.


Conclusion de l’étude :


Les vaccins sont administrĂ©s Ă  des personnes en bonne santĂ© pour prĂ©venir des maladies qu'ils ne contracteront peut-ĂȘtre jamais au cours de leur vie et, Ă  ce titre, les vaccins doivent respecter les normes de sĂ©curitĂ© les plus Ă©levĂ©es possible.


Les données des essais cliniques humains pour les deux PVH vaccins actuellement sur le marché (Gardasil de Merck et Cervarix de GSK) révÚlent un profil de sécurité troublant qui nécessite une réévaluation précise des risques et avantages. Les vaccins PVH actuels ne peuvent pas remplacer les méthodes disponibles de dépistage ou traiter le cancer du col de l'utérus, et leur efficacité à prévenir tout décÚs par cancer ne sera pas connue avant plusieurs décennies.


Étant donnĂ© que le taux de mortalitĂ© du cancer du col de l'utĂ©rus chez les filles de 9 Ă  20 ans est nul, les risques encourus Ă  court terme du vaccin, pour des individus par ailleurs en bonne santĂ©, semblent surpasser de maniĂšre significative les potentiels avantages Ă  long terme encore non prouvĂ©s (Gerhardus et Razum 2010 ; Tomljenovic et Shaw 2012b ; Tomljenovic et al. 2013).


Les recommandations pour continuer Ă  utilisation les vaccins contre le PVH doivent ĂȘtre rĂ©Ă©valuĂ©es de toute urgence et de nouvelles directives doivent ĂȘtre demandĂ©es sur l'utilisation des VRAIS placebos dans les essais pour prouver l'innocuitĂ© des vaccins.




Alors que nombre de médecins VRP continuent de soutenir que le Gardasil est sûr en niant les effets secondaires graves, un nombre important de jeunes filles et garçons ont été gravement blessés au fil des ans. Les effets indésirables graves signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) en rapport avec le Gardasil comprennent aux USA, sans toutefois s'y limiter, les éléments suivants :


Merck, les autoritĂ©s sanitaires, et les politiques des diffĂ©rents pays nient en bloc tout lien entre les injections et les effets secondaires graves de ce vaccin MAIS rĂ©cemment, un document OFFICIEL de dĂ©cembre 2014, obtenu de l’EMA via une requĂȘte FOIA dĂ©montre que tous les signaux Ă©taient prĂ©sents dans les essais cliniques, que les autoritĂ©s sanitaires SAVAIENT TOUT mais qu’elles ont approuvĂ© malgrĂ© tout et ferment dĂ©sormais les yeux sur toutes les remontĂ©es de terrain.


Nous rapportons ci-dessous une partie du contenu du document de 81 pages, mais il mĂ©rite d’ĂȘtre lu en entier et sauvegardĂ© pour les procĂšs Ă  venir si d’aventure une majoritĂ© de parlementaires corrompus parvenait Ă  rendre ce poison obligatoire.

(Il faut s’enregistrer si vous voulez sauvegarder le PDF du rapport avant censure.)



Note : Les vaccins Gardasil quadrivalent puis nonavalent Gardasil 9 ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s d’un partenariat entre Merck pour les USA et Sanofi-Pasteur pour l’Europe. C’est pour cette raison que sur le rapport il y est reportĂ© le nom de Sanofi-Pasteur/MSD.


À la suite de nombreuses plaintes Ă  cause des effets secondaires graves des injections, Sanofi-Pasteur a rompu la collaboration pour « se concentrer sur leur vaccin contre la Dingue, ont-ils justifiĂ© ». Donc les criminels de Sanofi-Pasteur sont aussi responsables que Merck/MSD pour ce dĂ©sastre sanitaire.




Les rapporteurs de l’EMA constatent donc :

â–Ș Beaucoup d’effets secondaires systĂ©miques graves ont Ă©tĂ© rapportĂ©s dans l’essai clinique mais ils s’accommodent de la rĂ©ponse de Merck qui les considĂšre comme bĂ©nins !


â–Ș Des douleurs thoraciques et abdominales 4 fois supĂ©rieures Ă  la normale mais rien, Merck botte en touche :


â–Ș Des effets secondaires pouvant ĂȘtre prĂ©curseurs de maladies neurologiques et auto-immunes mais sans intĂ©rĂȘt pour Merck :


â–Ș Vascularite pulmonaire avec soupçons de SLE = Systemic Lupus Erythematosus.

L’EMA Ă©crit que c’est un risque trĂšs Ă©levĂ© et qui doit ĂȘtre investiguĂ© aprĂšs la mise sur le marchĂ© !

Pourquoi mettre un produit qui dĂ©montre dĂ©jĂ  le potentiel pour dĂ©clencher le Lupus et qui va ĂȘtre administrĂ© Ă  des ados pour un cancer qui a une si faible prĂ©valence ?

Surtout que Merck ne fera aucun suivi !


â–Ș POTS = postural orthostatic tachycardia syndrome qui est le syndrome de tachycardie posturale (PoTS) extrĂȘmement handicapant et qui se retrouve chez beaucoup de plaignants aux USA dont la vie est fichue – l’EMA Ă©crit que ce signal Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©occupant dans les vaccins bivalents et quadrivalents prĂ©cĂ©dents et pourtant les injections n’ont jamais Ă©tĂ© retirĂ©es !

C’est aussi un des effets secondaires le plus rapportĂ© dans la base de donnĂ©es de l’OMS rapportĂ© plus haut !


Ce rapport date de fin 2014 et concerne la demande d’homologation du Gardasil 9.


Donc l’EMA savait pertinemment Ă  ce moment que ce syndrome POTS Ă©tait dĂ©jĂ  un problĂšme avec les vaccins Gardasil bivalents et quadrivalents. Et pourtant en 2015, lorsque les mĂ©decins danois faisant face Ă  une explosion d’effets secondaires graves chez les jeunes filles vaccinĂ©es avec les Gardasil 4 (dont les POTS) ont demandĂ© Ă  l’EMA de revoir la sĂ©curitĂ© de ce vaccin, les officiels de l’EMA ont affirmĂ© qu’il n’y avait aucun lien entre POTS et vaccin Gardasil. Voir absolument la vidĂ©o ci-dessous de 7 min. Édifiante !




â–Ș 2 cas de leucĂ©mies aigues recensĂ©es par l’EMA alors que seules des personnes 100% saines ont Ă©tĂ© recrutĂ©es pour les essais cliniques.

Tout antécédent de cancer ou suspicion ont été écartés.


La rĂ©ponse de Merck est Ă  vomir : non seulement ils avouent qu’il y a eu 5 cas de leucĂ©mies et non 2 mais concluent qu’il n’y a pas de lien avec le vaccin et qu’il n’y a pas besoin de surveillance post marketing !


Les cas de leucémies se sont déclarés respectivement :

  • 3.5 ans aprĂšs dose 3,

  • 3 mois aprĂšs dose 2,

  • 3.5 ans aprĂšs dose 3,

  • 2 ans aprĂšs dose 3,

  • et 1.5 ans aprĂšs dose 3.


L’EMA n’a pas Ă©tĂ© convaincue par la rĂ©ponse de Merck et a mĂȘme considĂ©rĂ© que les cas de leucĂ©mies post vaccination Gardasil pourraient ĂȘtre beaucoup plus nombreux car Ă©loignĂ©s de la vaccination et les victimes ne faisant pas le lien (lire rĂ©ponse complĂšte de l’EMA p.49).


Le problĂšme a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme non rĂ©solu par les rapporteurs avec demande de suivi post marketing, mais qu’en est-il rĂ©ellement ?


Comment peuvent-ils faire prendre un tel risque Ă  nos enfants sachant la possibilitĂ© de dĂ©clencher une leucĂ©mie jusqu’à 4 ans aprĂšs l’injection ? Quel mĂ©decin fera le lien surtout que ces cas n’apparaissent nulle part sur la notice du vaccin !



â–Ș Plus de la moitiĂ© des vaccinĂ©s ont dĂ©veloppĂ© une maladie post injection mais Merck n’a listĂ© que celles avec une incidence >1%.

L’EMA a demandĂ© la liste de celles < 1% potentiellement graves comme la sclĂ©rose en plaque ou la narcolepsie. La rĂ©ponse de Merck n’ayant pas Ă©tĂ© satisfaisante, l’EMA a considĂ©rĂ© ce problĂšme non rĂ©solu.


â–Ș Pour faire plus de fric, le Gardasil 9 aux USA est aussi offert aux femmes jusque 45 ans, ce qui est complĂštement stupide sachant que ce vaccin ne sert Ă  rien une fois que les personnes ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© exposĂ©es aux PVH au dĂ©but de la sexualitĂ©.

Et parmi ces femmes qui se sont fait injectées dans les 30 jours avant de tomber enceinte, ils ont observé un fort taux de fausses couches !

Que de similitudes avec les vaccins ARNm COVID-19



â–Ș 13 cas d’arthrites indicatifs de signes prĂ©curseurs de maladies auto-immunes non suivis (😡 bon sang, on parle d’adolescentes !) – l’EMA demande ce qui est advenu de ces 13 cas parce qu’aucun suivi n’a Ă©tĂ© rĂ©fĂ©rencĂ© ? Merck prĂ©tend avoir eu une erreur informatique et que ces cas d’inflammations des articulations se sont rĂ©sorbĂ©s tout seuls



â–Ș Un nombre important d’autres effets secondaires graves dans l’essai clinique (encĂ©phalomyĂ©lite dissĂ©minĂ©e aiguĂ«, pancrĂ©atite, troubles de la thyroĂŻde...) et au lieu de refuser la mise sur le marchĂ©, l’EMA demande simplement Ă  Merck de surveiller post marketing considĂ©rant le bĂ©nĂ©fice > risque ! Vous connaissez la suite



â–Ș La mention de 17 avortements post vaccination comme effets secondaires graves, car ces avortements ont dĂ» ĂȘtre provoquĂ©s probablement suite Ă  des morts fƓtales, sans plus de dĂ©tails.



Donc en dĂ©pit de tous ces signaux et effets secondaires sans prĂ©cĂ©dents (avant les injections COVID-19), la FDA et l’EMA ont approuvĂ© ce vaccin.

Tout ce à quoi nous nous sommes réveillés avec les injections COVID-19 était normal business pour toutes les injections dont le Gardasil.


Tous les signaux Ă©taient lĂ  dans les essais cliniques mais les autoritĂ©s sanitaires corrompues ont fermĂ© les yeux et ont validĂ©, mettant la vie de nos enfants en jeu et ensuite NIANT l’existence de ces effets secondaires en prĂ©tendant qu’il n’y aurait pas de lien.

Ce rapport est donc une farce, comme probablement tous les rapports de demande de mise sur le marchĂ© des vaccins et autres mĂ©dicaments dits innovants : L’EMA demande Ă  Merck de justifier les signaux prĂ©occupants, Merck rĂ©pond Ă  cĂŽtĂ© et/ou en minimisant tout sans vergogne.


Je vous laisse lire les rĂ©ponses (amateurs de bullshit, faites-vous plaisir). Merck ne produit aucune Ă©tude pour infirmer les signaux de l’essai et l’EMA valide sans en demander plus si ce n’est qu’ils suivent cela une fois les vaccins dĂ©ployĂ©s
 mais vous connaissez la suite.


Point important : les essais cliniques excluent tous ceux qui souffraient d'allergies, de troubles immunologiques ou nerveux, d'au moins quatre partenaires sexuels, de vulnérabilités génétiques à toute maladie connue (y compris le cancer) et ceux qui souffraient d'infections générales, d'antécédents d'abus d'alcool ou de drogues, et/ ou une maladie grave ou chronique. De nombreuses femmes ayant des antécédents de troubles immunologiques ou du systÚme nerveux ont été exclues des essais, démontrant ainsi que Merck savait que le Gardasil aggraverait leur condition.


Le problÚme, bien sûr, est que les enfants ne sont présélectionnés pour aucune de ces vulnérabilités avant de recevoir le vaccin. En réalité, toute personne atteinte d'une ou plusieurs de ces conditions ne devrait pas recevoir le Gardasil, car il n'a jamais été étudié chez une personne atteinte de ces conditions. Il n'a été testé pour la sécurité que sur les enfants les plus sains possibles.



Merck, tout comme Pfizer, est une entreprise criminelle qui se fout de nos vies. Il n’y a que le profit qui compte comme le prouve le scandale prĂ©cĂ©dent du Vioxx.

L’agence du mĂ©dicament a donc fermĂ© les yeux et approuve ce vaccin le 10 juin 2015 (6 mois aprĂšs la date de ce rapport) malgrĂ© les signaux clairs de danger pour nos ados.

Quel est le niveau de corruption pour fermer les yeux sur des signaux de sécurité criants ?!


Merck se targue de pouvoir le rendre obligatoire avec des valises de « biftons » (oui, oui : voir plus loin), nos politiques et l’establishment mĂ©dical poussent jusqu’à vouloir le rendre obligatoire.


Notice de l’EMA sur le Gardasil ne faisant mention d’aucun des effets secondaires pourtant prĂ©sents dans leur rapport ci-dessus. (le lien ci-dessous peut ne pas fonctionner depuis la France, nĂ©cessite parfois un VPN)



La notice de la FDA fait mention de plus d’effets secondaires que celle de l’EMA :




En 2011 c’est le journal 20 minutes qui pointe les effets secondaires graves de ce vaccin :



Les preuves sont accablantes contre le Gardasil donc nous ne voyons pas comment une obligation vaccinale pourrait passer ! Mais il faut s’armer avec le maximum d’arguments contre cette Ă©ventualitĂ©, puisque l’argent est roi et veut faire loi.


En avril 2018, Peter GĂžtzsche, a donnĂ© une confĂ©rence sur ses dĂ©couvertes sur les vaccins contre le PVH et a expliquĂ© notamment comment l’EMA a cachĂ© les effets secondaires du Gardasil :

« Les vaccins contre le PVH sont controversĂ©s car il existe d'importantes incertitudes
 L'histoire des vaccins est trĂšs intĂ©ressante ». Il aborde l'Ă©cart entre la santĂ© publique et la santĂ© individuelle, et c'est un exemple, parmi tant d'autres, que nous ne pouvons pas faire confiance Ă  nos rĂ©gulateurs de mĂ©dicaments.



D’autres lectures relatives aux essais truquĂ©s de Merck/Sanofi-Pasteur pour faire approuver le Gardasil et autres effets secondaires :











@XavierBazin2


Mais le plus important est que Merck n’a JAMAIS dĂ©montrĂ© que son vaccin Gardasil pouvait prĂ©venir le cancer du col de l’utĂ©rus et toute la fraude est lĂ  !

Pire, ce vaccin semble ĂȘtre responsable de plus de cancers encore !

Suite, Ă©pisode 6



Vous pourrez retrouver ici toute la sĂ©rie spĂ©ciale đș𝑎𝑟𝑑𝑎𝑠𝑖𝑙 qui sera publiĂ©e au fur et Ă  mesure —



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